À l'est rien de nouveau
Collège de Batticaloa |
Mardi 4 décembre 2018
Je reprends ce soir.
Hier 8h de route 270km avec arrêts. Uduwalawe-Batticaloa.
Belle cascade en montant vers Ella.
Ella devenue station touristique sans intérêt.
Et puis la route parfois sous des trombes d’eau.
Arrivée vers 16h à Batticaloa.
On visite les chambres de l’hôtel où nous avions retenu.
Maria et moi on trouve ça glauque et paradis pour moustique.
On en trouve un autre sur la bande de terre entre la lagune
et l’océan.
On est les seuls clients. Loin de tout et même de l’océan.
Pas de restau. On commande un repas basique noodle végétarien.
Voir sur Face book description du repas par Véro.
Ce matin on va au bout de la langue de sable qui nous mène à
l’endroit où la lagune et l’océan se rejoignent. Magnifique endroit qui fait
penser à Véro à St Louis du Sénégal et qui fait aussi penser à un endroit au
Sud de Pondy.
En face le phare.
En face le phare.
On revient on traverse la forêt de tamaris qui borde la plage.
Retour à la voiture
direction la vieille ville.
Batticaloa peut faire penser à Istanbul, des ponts relient
des espaces séparés par des plans d’eau.
Le fort qui défendait l’entrée de la lagune. Construit par
les Portugais, pris par les Hollandais. A l’intérieur se sont mis tous les
services administratifs de la ville. On fait donc le tour du fort en voyant les
administratifs au boulot.
On prend un auto rickshaw direction le temple hindou. Oui,
pour ceux qui ne savent pas, nous sommes ici en pays Tamoul et la religion
comme en Inde est l’hindouisme.
C’est le moment de puja toujours aussi impressionnant pour
des novices. Les croyant qui forment deux longues files en direction de l’autel
où les prêtres officient. Ils sortent la divinité qui semble être Ganesh caché
derrière une tenture, la nourrisse puis la replace. Pendant tout ce cérémonial
tambours et flute rythment la cérémonie. Le dieu est remis à sa place, la
tenture tirée de nouveau. Un prêtre vient le long de la file des fidèle tenant
dans ses mains un plateau enflammé. Les fidèles captent la flamme avec leur
main et rapprochent leurs mains de leur visage comme pour prendre un peu de l’esprit
du dieu. Véro fait de même, on ne sait jamais dit-elle.
Près d’une porte on voit de chaque côté deux statues de
femmes comme la statue que l’on a chez nous. Elles sont là pour représenter les
porteuses d’offrandes lors des pujas.
On redescend vers la vieille ville, Main street et Bazaar street
où il y a tous les vieilles échoppes. On passe par l’église Ste Mary, puis St Antoine.
Véro achète un foulard dans une boutique, et puis les deux filles font une boutique
de filles pour des chouchous, des pinces à cheveux, des serre tête.
On déjeune au frais dans un bon restau.
On prend la route d’Arugam Bay.
La route s’est beaucoup améliorée depuis 10 ans tous les
passages à gué qui nous ramenaient au niveau de l’océan et des backwater et de
la vie des pêcheurs, ont été remplacé par des ponts. Les rizières sont vertes
on dirait d’immense pelouse qui bordent la route.
Arrivée à l’hôtel on est un peu déçu, pas de WIFI mais tout le reste convient. On va acheter des gigas en plus pour faire fonctionner ordi et tablettes en partageant les connexions.
Dîner dans un restaurant Thaie où l’on peut boire une Lions Lager pression, exceptionnel.
Demain on va voir comment on peut aller visiter le parc qui est le prolongement Est de Yala mais où personne ne vient.
Arrivée à l’hôtel on est un peu déçu, pas de WIFI mais tout le reste convient. On va acheter des gigas en plus pour faire fonctionner ordi et tablettes en partageant les connexions.
Dîner dans un restaurant Thaie où l’on peut boire une Lions Lager pression, exceptionnel.
Demain on va voir comment on peut aller visiter le parc qui est le prolongement Est de Yala mais où personne ne vient.
Dodo.
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