Sinharaja forest
| Sinharaja forest |
Dimanche 2 décembre
2018
On se lève tôt, 7h.
Petit dèj à 7h30.
Départ à 8h30 pour Rakwana, Panila. C’est en fait une
destination pour Sinharaja Forest une des dernières forêts pluviales de la
planète. Cette ville de Panila se trouve
à l’opposé de la forêt par rapport à
Deniyaya qui est l’entrée la plus fréquentée.
Nous arrivons à notre lieu de rendez vous à 10h15 au lieu de
10 avec une petite erreur d’appréciation de 3km. En effet en passant devant le
lieu de rdv je n’ai pas reconnu et nous sommes allés jusqu’au village. On fait
téléphoner par un chauffeur de tuc tuc qui confirme. Donc 3 km retour.
Là on ne se trompe pas et notre guide est là sur le bord la route.
Là on ne se trompe pas et notre guide est là sur le bord la route.
On prend un tuc tuc car la première partie est accessible
avec ce véhicule bien que parfois la piste ressemble à l’emplacement d’un
torrent sec et caillouteux qui descend avec une pente vertigineuse et il faut
bien toute l’expertise des conducteurs pour que nous passions.
Ensuite il faut marcher dans la forêt pluviale. Escalade,
transpiration, moustiques et surtout sangsues.
Au bout d’un moment nous arrivons près d’une bâtisse, qui
est habitée et dans laquelle vivent des gens démunis de tout, mais c’est un
toit.
Ils doivent se battre contre la forêt qui dévore tout pour
garder un petit jardin étroit qui fait le tour de la maison et qui les protège
un peu des animaux.
L’homme boîte il s’est fait mordre par un chien, à l’hôpital
on lui a fait le vaccin contre la rage.
Ils nous donnent une boîte contenant du Jaguery, sorte de
sucre fait avec la sève d’un arbre ce qui est rare et coûte cher même ici.
On continue ainsi à travers cette magnifique forêt et contre
toute attente, ça et là, une maison apparaît avec son groupe de population.
Les sangsues ne nous épargnent pas, Véro et Maria en feront l’expérience. C’est une sorte de petit ver noir comme un bout d’élastique qui se tortille dans tous les sens et qui se débat pour rester en place. Pieds nus il est facile de les voir et de les enlever. Une a réussi à se glisser dans la jambe du pantalon de Véro et elle s’en aperçoit lorsque son pantalon est plein de sang. Les sangsues ne sont vecteur d’aucune maladie, elle inocule simplement un produit qui fluidifie le sang et l’invite à couler.
Les sangsues ne nous épargnent pas, Véro et Maria en feront l’expérience. C’est une sorte de petit ver noir comme un bout d’élastique qui se tortille dans tous les sens et qui se débat pour rester en place. Pieds nus il est facile de les voir et de les enlever. Une a réussi à se glisser dans la jambe du pantalon de Véro et elle s’en aperçoit lorsque son pantalon est plein de sang. Les sangsues ne sont vecteur d’aucune maladie, elle inocule simplement un produit qui fluidifie le sang et l’invite à couler.
Retour après la balade.
On récupère la voiture. Les filles et moi-même allons au
pipi room derrière la maison et là dans un cabanon un peu retiré comme il se
doit il y a des toilettes à l’occidentale avec chasse d’eau. Inattendu dans ce
coin perdu du Sri Lanka.
Retour.
Arrêt dans un restaurant family pour manger un éternel fried
rice aux légumes. A la télé il y a le CSO de Hong Kong, avec Maria ça nous fait
rire.
Passage par l’éléphant transit home pour se faire un dernier
plaisir à regarder le spectacle émouvant des bébés éléphants affamés.
On fait le tour du petit musée.
Retour au guest pour un repos jusqu’au dîner et préparer les
valises pour partir demain à l’est en direction de Batticaloa que nous atteindrons
peut-être dans la journée 278km pas sûr que nous puissions le faire même en
partant tôt, sinon on dormira en route.
Bon repas mais on est tous fatigués et pas vraiment faim.
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